Bernard m’a donné ses dates, Valérie les siennes. Il me reste à contacter Isabelle (répondeur depuis vendredi, je ne laisse pas de message – il faudra d’ailleurs que je pense à m’en procurer un, de répondeur). Quelles que soient ses dates, rien, en ce qui concerne les quatuors, ne pourra se faire avant la semaine du 17 mars... Valérie pense qu’au moins une répétition sera nécessaire. Je le pense aussi...
Demain, je contacte Guy... Pas de nouvelles de Didier P. (mais que puis-je lui proposer pour l’instant ?). Je pense tout à coup qu’Isabelle a deux duos à exécuter avec Bernard.
Répétition chant, tout le monde est présent, il y a une nette amélioration de l’ensemble. La mise en place de N.-D. du Carmel est presqu’achevée. La fois prochaine nous abordons les nuances. C’est là que je dois véritablement intervenir en tant que chef. Il est un fait que j’ai gagné en assurance, mais je suis encore loin d’être à l’aise. Il y a le fait de diriger, d’une part ; mais surtout celui qu’il s’agit de chant, c’est-à-dire des signes, des codes que j’ignore, l’approche d’un domaine qui m’est étranger, une technique de « conduction » qui avec l’instrument n’a rien à voir : un chanteur n’est pas un instrumentiste ; c’est un rapport direct avec l’autre qui demande de la finesse, du doigté, de l’intelligence, une certaine psychologie (ai-je tout cela ?)...