Je suis revenu à la terrasse, l’air s’allège. De la maison de la sœur de César me parvient des accords maladroits de Bontempi et, il me semble, du pipeau… J’ai tenté de lire quelques pages de Denissovitch, mais sans résultat. Je me suis alors installé devant ma fenêtre, face au paysage de Brousse, avec le laptop ; j’ai ouvert le 21 août, l’ai entamé pour m’apercevoir que je n’en avais pas la moindre envie.

 

21 août 2012