Quelques notes à reporter. Mais auparavant un mot au sujet d'Auster (je découvre, dans ce deuxième livre que je lis de lui, sa judaïté, point qui m'a disons « désolé » : l'inévitable Anne Frank, l'inévitable mention aux camps, à la persécution, à la malédiction, voir Roth). Un mot, mais qu'en dire ? Comme à chaque fois, comment parler d'un livre, d'un auteur ? Je ne sais pas. Mais si je ne sais pas, c'est peut-être qu'au-delà du plaisir évident que j'ai éprouvé et éprouve à le lire, au-delà de l'intérêt que je vois chez lui et du potentiel littéraire qu'il me semble contenir, c'est peut-être qu'il n'y a rien à dire (et est-ce bien nécessaire d'en dire quoi que ce soit ?). Alors, les notes...