Nancy avait trente-deux ans lorsqu’Omaya » a paru (donc, vraisemblablement, trente-et-un lorsqu’elle l’a écrit). Les trois dernières pages et la fin (final ?) sont bien celles d’une jeune personne qui commence à écrire : emballement, fougue, débordement. Je ne sais pas si je les aime, je ne sais pas si c’est une fin juste (mais, après réflexion, c’est-à-dire à froid, c’est bâclé). Il n’empêche : c’est remarquable, et s’il n’y avait pas eu cette fin, d’une certaine manière décevante (et « facile ») – mais je sais à présent, après tout ce que j’ai lu d’elle, qu’elle ne sait pas clore un texte –, j’aurais dit : c’est prodigieux… (Mes cadeaux sont prêts)