184 Ted lauréat…
« Celui-ci est pourtant poète lauréat d’Angleterre depuis 1985 […]. » Comment peut-on être « poète lauréat », c’est-à-dire consacré par un pouvoir, une institution ? C’est comme si une réunion d’aveugles sacraient un peintre ou un dessinateur…
190 et suivantes les poèmes uniquement en français
Apparaissent-ils ainsi dans son journal ? et qui les a traduits ? (Non, les références figurent en fin de volume. Je suis étonné qu’elle ne s’en soit pas chargé – bon, je veux bien admettre que ça lui aurait pris beaucoup de temps, en plus de celui qu’elle a consacré à cet « essai »...)
208 electrum – puis les tâches ménagères
Au sujet de Sylvia : « Elle vit sur les nerfs, devient pure conductrice de douleur. Comme Electre, dont le nom a bel et bien la même racine que “ électrique ” : electrum, l’ambre, première substance avec laquelle les Grecs ont appris à produire de l’électricité… par friction. » Je ne vois pas de trace de tâches ménagères, pas à cette page en tout cas (elle en parle ailleurs, Sylvia qui se tape tout le boulot domestique, cuisine y compris, tandis que lui, le British lauréat, dans l’attente d’estropier les écrits de sa femme, joue les démiurges littéraires)…