Je vais me remettre à Nancy avec ma deuxième cigarette (je vais tâcher d’appliquer la règle des deux heures, mais ça m’étonnerait que ça tienne). Je lis sans plaisir ni déplaisir, un peu mécaniquement comme lorsque je regarde un film du dimanche soir, ni mal fait, ni mal joué, mais dont j’oublierai tout l’instant suivant (ce n’est pas tout à fait vrai ; le souvenir n’est pas garant de la qualité de ce à quoi il est attaché)…Tant que j’y pense : le dernier cahier est coupé « plus court » que les précédents ; encore qu’il n’y ait pas de cahiers pour les dos carrés, que je sache, mais il correspond aux deux derniers chapitres. Comment est-ce possible puisque les exemplaires sont massicotés une fois achevés avec la couverture (qui elle est bien à la bonne dimension ?). C’est d’autant plus bizarre qu’en vérité, c’est le haut qui a été coupé