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« […] che si faceva chiamare il cittadino generale *** […]. » « […] qui se faisait appeler le citoyen général *** […]. » Hugo : « […] qui se faisait appeler le citoyen-général C*** […]. » Il y a beaucoup de coquilles dans cette publication (Biblioteca Universale Rizzoli de 1965 – il me semble pourtant qu’il s’agit d’une édition de renom)… C*** réapparaît plus loin sans l’oubli de l’initiale… (Pourquoi Hugo ne le nomme-t-il pas alors qu’il conserve le nom réel des autres protagonistes ?...)

 

85 note 2 : camarades

J’ai voulu aller directement au texte original et m’aperçois que ce site (fac-similé d’une édition de 1826) ne propose que le premier tome… Note à « Hombres, escuchate ! » : « Uomini, ascoltate ! Il senso che gli spagnoli dànno alla parola hombre, in questo caso, è intraducibile. É più che uomo e meno che amico. » « En l’occurrence, le sens que les Espagnols donnaient au mot hombre est intraduisible. C’est plus qu’homme et moins qu’ami. » Je propose « camarades »… Hugo : « Le sens que les Espagnols attachent au mot hombre, dans ce cas, ne peut se traduire. C’est plus qu’homme, et moins qu’ami. »

 

86 RIGAUD

« Era costui il capo mullato del corpo delle Cayes, più tardi conosciuto col nome di generale Rigaud, uomo astuto dall’aspetto candido, che nascondeva la crudeltà dietro un’aria di dolcezza. » « Il s’agissait du chef mulâtre du corps des Cayes, connu par la suite sous le nom de général Rigaud, homme astucieux à l’aspect candide qui cachait la cruauté sous un air de douceur. »

 

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