J’ai achevé Le peintre d’éventail. On dirait du japonais ; je veux dire qu’on le dirait traduit du japonais, à cette différence près que c’est beaucoup mieux écrit. Je ne sais qui est cet HH (la quatrième de couverture précise que son œuvre est immense – mais il semble que Zulma soit son seul éditeur), mais c’est une belle plume, et une belle langue (avec, malheureusement, des couacs, voir les notes), et il semble bien connaître le Japon. C’est un beau « roman » initiatique sur fond de tsunami et de haïkus…
25 mars 2013