Je suis arrivé au troisième paragraphe de la
page 101 ; c’est celui que j’ai parcouru hier en l’ouvrant au hasard, avec une
légère grimace mentale, infecté que j’étais par la méduse préjugé. (J’éprouve
une certaine tendresse pour Houellebecq, un peu semblable à celle
que j’accorde à Amélie…)