Je suis dans ma salle, à mon bureau, parfaitement seul, isolé, oublié du monde ; le ciel est bleu de l’autre côté de la fenêtre et au-dessus de l’autoroute dont j’entends la rumeur ponctuée par les chaises et les tables de la cantine que l’on range au-dessus de moi. Je lis Les Particules en fumant ma troisième cigarette