Il va en sous-sol, part vers…
« s’avère » 0/10 en grammaire (je ne sais plus où)…
126 « souvenez-vous »
« Souvenez-vous de l’homme ; souvenez-vous
longtemps. » Non : souvenez-vous-en…
182 « Mes livres »…
« Mes livres me garantissent une forme d’immortalité… » Lesquels ?
Les siens propres, c’est-à-dire ceux qu’il a écrits, ou ceux qu’il possède ?...
N.YOUNG
Éloge qui m’a souvent fait hausser les sourcils. Neil Young s’arrête à Gold Rush et encore : si je l’ai aimé en son temps, il me ferait certainement sourire aujourd’hui, et ce qui a suivi était déjà presque inécoutable à l’époque, l’est d’autant plus aujourd’hui. À la réflexion, je n’en conserverai que deux : Everybody knows it is nowhere, et surtout le tout premier, Neil Young, qu’il a réalisé seul ; c’est un monument (Houellebecq n’en parle même pas – mais il mentionne tout de même Last Trip to Tulsa)…
J’ai oublié de préciser que ce recueil commence par le texte qu’il avait consacré à Prévert¸ Prévert est un con, que j’avais lu avec effarement dans Rester vivant et autres textes (Librio) et qui m’avait fait dire, si je ne m’abuse, Houellebecq est un con, non ? Si je ne l’ai pas dit, je le dis ; c’est facile, mais tout aussi facile que son propre texte…)