Après avoir déshabillé L'Immonde, je me suis remis à Jean-Edern après avoir sauté la partie « rouge-brun » qui m’indifférait complètement. C’est de nouveau lui qui écrit. C’est toujours la même histoire, la même hargne, la même rage, la mauvaise foi parfois, mais c’est incontestablement vivant et tonique. Et drôle, fin, spirituel. Quoi que l’on puisse dire sur le personnage, dont j’ai évidemment le souvenir très vif, celui de ses apparitions sur les écrans, il véhicule une force peu commune. C’est un prince.