Ma mère a appelé ; je suis descendu réchauffer le repas que j’ai partagé avec Samuel, nous avons parlé du mindreader, d’informatique ; il est remonté ; j’ai sorti le chien, puis regardé Muerte di un ciclasta, pas mal, beaux effets de noir et blanc, une fin un peu rocambolesque cependant, occasion pour moi de réviser un peu d’espagnol en prévision de l’éventuel trip à Barcelone d’ici la fin du mois que la règle maternelle et dominicale des quinze jours va peut-être compromettre ; j’ai fait un peu de Bach ancien (mes doigts courent, mais la tête bâille) ; j’ai poursuivi Jean-Edern, dernière partie, le dictionnaire de la littérature française, vif, drôle, inventif, excellent ; je suis monté, ai entamé la nouvelle traduction pour Liz, nouvelle cliente, les « stresseurs » (comment traduire autrement « stressor » lui-même néologisme ?) dans le monde du travail...
9 juin 2006