p. 115 :

la description des condors

 

p. 129 :

ma Nilsson-Petrol

 

p. 143 :

« Le paradis n’est que le rêve du cerveau

se décomposant après la mort. »

Pas mal.

 

p. 154 :

l’Idiot International, justement (mais d’où venait l’argent, il ne le dit pas, malgré sa franchise, sa sincérité : « organe autonome, pourvu de ses propres et mystérieux mécanismes de régulation »)

 

207 : sa rencontre avec Borges

(qu’elle soit vraie ou non)

 

(Les aventures de J. Edern dans la pampa, guérillero pour la cause des peuples, petit Cendrars mutin et mythomane…)

 

Qu’aurais-je pensé de ce livre si je n’avais rien su de son auteur ?

 

10 août 2001