Je n’écris pas, ne lis pas beaucoup non plus. Hier, j’ai tiré trois livres des boîtes de la dernière fois qui se trouvent toujours sur la table du séjour, des Français pas trop gros et dont j’ignorais tout, dont Du côté d’Ostende de Jacqueline Harpman. L’idée était de lire les trois en parallèle, comme je l’avais déjà fait avec Kosaburo 1945 de Nicole Roland et Sur le sable de Michèle Lesbre. J’ai commencé par Harpman, une dizaine de pages qui ne présageaient rien de bon et j’ai abandonné l’idée…
3 décembre 2017