Cette nuit, Olivette est venue me dire bonjour. Nous étions parmi un groupe de personnes, j’étais près d’elle, elle voulait me prendre la main. Je lui ai dit que ce n’était pas prudent, et finalement y ai consenti. Nous nous sommes arrangés pour que l’on ne nous voie pas. C’est tout ce dont je me souviens. Depuis le lever, je ne pense qu'à elle… J’ai achevé la mise en ligne des livres (j’y ai passé toute la journée d’hier). J’en ai mis certains de côté pour moi que j’ai entamés au fur et à mesure, dont Lourdes, lentes… d’un certain André Hardellet, chez 10/18 d’il y a trente ou quarante ans. Il ne figure pas au catalogue du site de vente. C’est plutôt une bonne surprise. Initiation à l’amour d’un enfant (lui, sans doute) par une femme alors que les parents n’y sont pas. Ça a bien le ton débridé de ces années-là. Qui est cet Hardellet ? (Et pendant ce temps, je me casse la tête avec Alexandre. J’y ai jeté un œil cette nuit ; j’ai envie de retirer l’épisode Gélase, ça résoudrait le problème et me permettrait de remettre la scène de la vente. Ça m’obsède, je l’ai sans cesse à l’esprit – avec l’envie de tout arrêter, les publications, l’écriture.)