Je ne relèverai pas toutes les lourdeurs et maladresses de la traduction, sauf ce « dont j’espère qu’il vous plaira » qui revient à trois reprises ; encore que j’ignore s’il s’agit de la reproduction d’une faute de syntaxe de l’original ; je ne le crois pas : je ne vois pas à quoi elle pourrait correspondre en anglais et je vois mal un Anglais, et surtout ce type d’Anglais, travaillant dans une librairie de cette qualité faire une erreur de syntaxe aussi grossière – d’autant que la syntaxe anglaise, si tant est que l’on puisse parler de syntaxe, n’a en rien la rigidité de celle du français ; cela signifie que ce qui aux yeux de la traductrice pouvait passer pour une incorrection pouvait parfaitement ne pas en être une