Beaucoup d’anecdotes qu’il a reprises dans ses émissions radiophoniques (à moins que ça ne soit l’inverse) et donc que je connais. Elles gagnent beaucoup à être entendues plutôt que lues… Le chapitre consacré à Monet : toutes ces histoires me sont connues, mais je remarque à l’une d’elles une différence avec la version radiophonique, l’histoire de la mort de Monet et du linceul dont le préposé des pompes recouvre le cercueil. Je finirai à la maison, il faut que j’y aille

 

4 octobre 2001

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