À minuit, je tombais de sommeil. Je me suis mis au lit avec Godard (en tout bien tout honneur) que je suis tout de même parvenu à lire durant une heure avant d’éteindre. Aujourd’hui, je suis exténué. Je repense à ces huit jours idylliques à Venise où je n’avais pas la moindre once de fatigue, pas même mes crampes nocturnes. Que fais-je donc ici ?
15 décembre 2010