IL me semble l’avoir déjà dit : il y a du slave chez l’Américain du Sud (central, en l’occurrence) : la dérive, le jeu entre la réalité et l’identité, le trouble des apparences, la fantaisie, l’alacrité, la liberté, le mixage des genres, la parodie, l’excentricité, la déroute…

 

1er août 2003