Ce n’est que maintenant que je tire de mon sac
cahier et stylo (qui va de nouveau bien, merci). Depuis ce matin, travail, même
ce midi, excitation qui a pris tout le service, je ne pouvais y échapper
d’autant qu’ils étaient dans ma salle à déménager des dossiers. Mon
seul recours jusqu’à cette heure-ci, et puisque je suis dispensé de
grosse manutention à cause de mes lombes, le service, et donc le travail…
Je viens de reprendre La tête de l’hydre, roman d’espionnage
consacré à la guerre de 73, Yom Kippour. Ça commence à me lasser, malgré la
fantaisie dont il s’empreint…
31 juillet 2003