J'entame John Ford. La prisonnière du désert (Jean-Louis Leutrat) et lis cette chose un peu surprenante en bas de la page 6 : « [...] les tisserands navajos laissent toujours subsister un défaut dans leurs œuvres car, pour eux, la perfection signifierait la mort. » Je pensais qu'il s'agissait des seuls tisserands orientaux (arabes ?), à cette différence près que, chez eux, la raison de ce défaut laissé volontairement est que la perfection appartient à Dieu. Raison plus douce, plus subtile. Je la préfère...

 

13 avril 2000