Ironie. En allumant la télé, je suis tombé sur un documentaire (La grande librairie) consacré à Flaubert. Un cœur simple y était mentionné (à ce propos, ce texte est l’un des Trois contes que j’ai et ai lu il y a nombre d’années sans qu’il ne m’en sois resté grand-chose sinon que ça m’avait indifféré – non, je n’en sais rien, après tout – ; Gibert Jeune, 1960, sans ex-libris, donc lu avant 1989). Quelqu’un ou quelqu’une le qualifie de summum. Sans doute l’était-il à son époque (le choix du sujet, le style), mais aujourd’hui ? Bref, Flaubert en long et en large – ça m’a permis de mieux connaître le personnage –, sauf qu’il n’a pas été fait mention des Lettres d’Orient qui, à mon sens, sont une manière de summum – et de ce fait, nulle mention de son homosexualité – mais l’était-il vraiment ? c’est ce qu’il m’avait semblé ressortir de ces lettres, mais est-ce que je ne confonds pas ?... (Avec Delacroix, peut-être…) (Non, je suis en train de relire mes commentaires au sujet des Lettres ; j’y dis bien qu’il était « de plume et à poil »…) Il y était aussi question de L’éducation sentimentale. Amiko m’en parlait dans sa dernière lettre (elle l’étudie) ; je lui avais dit que je l’avais lu et apprécié – mais pour m’apercevoir qu’il ne figure pas dans ma bibliothèque alors que les autres y sont, même Salammbo qui, bizarrement, figure dans le site, mais assorti d’aucun commentaire ; où est-il ? qu’est-il devenu ? quand l’ai-je lu ? Et puis, évidemment, Emma qui tire tout à elle, chacun chacune y allant de son interprétation – seule Lafon avait l’air de ne pas y adhérer, j’ai pris malheureusement l’émission en cours –, la mienne étant que ça reste sinon un texte quelconque, du moins loin de l’intérêt qu’on lui accorde – vais-je le relire pour la troisième ou quatrième fois ?). Au fait, qu’est cette Lafon dont je connais le visage, et une autre écrivaine dont j’ai oublié le nom et à la poitrine tatouée – Colin ? Qu’écrivent-elles ?... (Une idée : il y a un moment que je ne suis pas allé à L’Horizon, principalement parce que je ne saurais quoi y acheter de neuf ; je pourrais y chercher un livre de l’une et l’autre...) C’est Marie-Hélène Lafon et Cécile Coulon – les bras sont également tatoués, ça lui fait une drôle de dégaine…