Je reviens des courses avec la ceinture, ça ne va pas beaucoup mieux ; s’y ajoutent mes doigts dont l’auriculaire droit qui m’a fait souffrir hier soir, ça va mieux aujourd’hui. Sinon, rien de particulier, saisie, livres du site, et, avant d’aller au lit et après avoir poursuivi Ferrante (avec toujours la même perplexité ; qu’est-ce qui fait que je ne m’en détache pas ? – « le détail, la force du détail et de la précision dans la banalité, l’ordinaire », c’est ce qui m’était passé par la tête en lisant). Je tique un peu : Lila couche avec Nino et, au même moment, à quelques kilomètres de là, Elena se fait déflorer par le père de Nino ; l’occasion s’est présentée, et sans doute était-ce voulu de sa part, comme une revanche ; il n’empêche, le père tombe à point nommé, c’est un peu une grosse ficelle ; à ce propos, je suis étonné qu’elle n’en fasse pas un grand cas – un granché –, c’est bâclé en quelques lignes... J’ai scanné un autre carnet de Maurice. J’y prends un inexplicable plaisir…