« It’s a bit too much », ai-je dit à Éléonore en revenant du jardin. Elle pensait que je parlais du soleil (mais il est vrai que ça commençait à taper), je lui ai montré Ferrante que j’avais à la main : je venais de « découvrir » que Nino était le père de Mirko, enfant de Sylvia qu’Elena venait de rencontrer fortuitement… Ce « rebondissement » (qui, à la manière classique et éprouvée qu’elle adopte depuis le début, ferme le chapitre), à mine de bluette ou de mauvaise série télé, ne va pourtant pas m’empêcher de continuer. (« Wait, you’ll see », m’avait-elle dit)