Après la télé – un documentaire sur les religions, ou plus exactement, le lien au sacré –, je me suis remis à Ferrante, et ce matin itou… Elena couche avec Nino, la belle affaire. Cela m’a étonné, je ne m’y attendais pas ; j’aurais plutôt pensé – et je pense que ça aurait été préférable, c’est sans doute une erreur de la part de l'autrice, un rebondissement inutile (mais je verrai ce qu’il en ressortira) qu’il, Nino, ne reste qu’à l’état de rêve (c’est un peu nunuche, dans le fond, les deux amies amoureuses du même homme et qui finissent toutes deux dans son lit ; j’espère qu’elle saura en tirer quelque chose « d’intéressant »... Je me suis laissé quelques pages, les dernières, pour ici, face à la mer, et j’ai commandé le dernier – la photo de couverture, deux enfants de dos, debout sur une plage, bras par-dessus l’épaule – me fait craindre le pire : on dirait une illustration pour Harlequin ou Nous Deux (mais la précédente ne vaut guère mieux – en même temps, ce côté acidulé me semble très italien)…