Pas très en forme, je ne suis pas sûr que ça soit le moment de m’attaquer au monologue intérieur de Quentin, souvent sans ponctuation, parsemé du parlé « nègre » (négro ?), mélange des faits et des pensées, des personnages, qui est qui ; je m’y perds, ai beaucoup de mal à m’y retrouver et surtout à m’y accrocher ; je devrais peut-être attendre d’avoir les idées plus claires (ma consolation, d’une certaine manière, est que je ne suis pas sûr qu’un autochtone s’y retrouve mieux que moi, intrigue, formulation, le parlé incertain et fautif – « I says » est-ce une forme courante dans le Sud des États-Unis ?). Je n’ai pas du tout le souvenir de ce texte ; l’ai-je lu ? Oui, en français. Quand ? Il y a très longtemps (et peut-être était-ce le premier texte de lui que j’avais lu puisqu’il ne me semble pas que j’aie lu les suivants en français)… (Pourquoi le souvenir que j’en ai est-il lié à un match de baseball ?...)