Saisie, quelques courses, Faulkner à chaque cigarette. Première partie, 7 avril 1928, j’ai achevé la deuxième, 2 juin 1910, entamé la troisième, 6 avril 1928 (donc la veille de la première). Je suis sorti de la deuxième sonné, étourdi – un fétu de paille emporté par un flot furieux (« bark », le bout d’écorce que l’un des personnages – qui ? – laisse tomber dans l’eau : c’est moi) ; il y avait longtemps que ça ne m’était pas arrivé (longtemps que je n’avais pas lu Faulkner). Je n’ai pas tout compris, il aurait fallu que je m’arrête, relise, mais je ne le voulais pas (et ne le pouvais pas)