Fin de la saisie. De ma place, je vois les chars à voile tourner, aller et venir. Le ciel s’est dégagé, il y a un peu de soleil… Je viens de trouver Le bruit et la fureur, version Folio, en PdF (de Coindreau, l’originale – mais « nouvelle édition revue », est-il précisé ; par qui, quand ?) et y jette un œil. C’est bien au passé composé (avec deux passés simples qui lui ont sans doute échappé). Je note qu’il utilise points d’interrogation et d’exclamation absents de l’original. (Il traduit « nous » pour « we » alors qu’il me semble que « on » serait plus juste dans la bouche de Benjamin.) (Puis, parfois, au lieu de « tu », il emploie « vous » pas du tout crédible : Luster ne va pas dire « vous » à Benjamin le demeuré, ou Disley à la petite Caddy qu’elle a élevée…) (« Father » traduit par « papa », non ; c’est bien « père »…) Il y a une longue préface de sa main (Coindreau, 1937), je l’entame et m’aperçois que des choses m’ont échappé, d’une part dans les liens de parenté des personnages, d’autre part le fait que Benjamin aurait tenté de violer une fillette et aurait été châtré ; où est-ce ?…)