Près d’un banc de la digue, un homme se tient, torse nu avec un énorme ventre, comme une baudruche qu’on lui aurait ajoutée sans qu’il s’en rende compte (il n’est pas obèse, le reste de son corps est « normal ») ; c’est effrayant, et monstrueux. « Comment peut-on avoir un bide pareil, et surtout s’en foutre ? » Je l’ai dit à voix haute… Saisie, notes, Faulkner, le tout alterné et au son des estivants agglutinés sur le bout de plage que leur concède la marée haute à présent. Il me reste une dizaine de pages, dernière partie, le lendemain de la fête (foire) à la ville. Je suis en suspension. Que dire d’autre ?...