165 JEWS

 

La préface. Étais-je à ce point perdu que j’aie dû aller y jeter un œil alors que je ne le fais jamais avant d’avoir achevé la lecture d’un livre ? J’y trouve (elle mériterait d’être traduite entièrement) cette chose qui m’a stupéfait au sujet du monologue de Benjamin le demeuré, première partie du texte : « Benjy n’a pas le sens du temps ; sa pensée fonctionne uniquement d’une manière associative : les événements du jour et ce qu’ils lui rappellent du passé ne sont pour lui qu’une seule et même chose : la totalité de ses trente-trois années d’existence est du présent exprimé par un flux ininterrompu et éclaté… » (Incidemment, Richard Hughes, le préfacier, avoue qu’il n’est pas sûr, après avoir lu The Sound and the Fury plusieurs fois, d’avoir tout compris – et précise que ça n’a pas d’importance, je suis tout à fait d’accord…)

 

201 « DOGED » « DODGED »

« She had doged out of sight somewhere. Saw me coming and dodged into another alley […]. » « Doged », et avant vérification, j’ai immédiatement pensé à une coquille : « dodged »… Je trouve « dog » en tant que verbe (poursuivre, harceler), mais orthographié « dogged »… (Quentin est-elle la nièce ???...)

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