110 sur la véranda !

Qu'on me dise pour quelle raison tous les traducteurs du japonais entrent sur une véranda...

 

127 « sur un coin » ?

« J’allais dans le salon chinois et sortis la chaise longue sur un coin de la véranda. »

Et quand bien même, que voudrait dire « sortis la chaise longue dans le coin » ? Qu’il y a une ouverture dans le coin qu’elle utilise pour sortir la chaise longue de la véranda ?

 

128 « jamais vu » puis « que je connaissais bien »

« Sans que je m’en rendisse compte je m’endormis et me trouvai dans un paysage qui hante quelquefois mes rêves, bien que je ne l’aie jamais vu. J’étais au bord d’un lac, dans une forêt que je connaissais depuis longtemps […]. »

Ou alors, cette forêt revient souvent dans ses rêves.

 

SUI ?

« Sur la porte, les mots : Hôtel de Suisse étaient gravés dans la pierre en lettres d’or. En lisant les lettres SUI je pensais subitement à Mère. »

Quel est le rapport entre « sui » et la mère ; s’il y en a un – et il doit y en avoir un, sinon pourquoi SUI plutôt que SUISSE ou HÔTEL (si tant est que ça soit écrit en français dans le texte original) ? Dans l’original, il s’agit peut-être d’un idéogramme ; mais lequel ? Il y en a au moins quinze qui se disent SUI. (Mais « Suisse » serait écrit en katakana.)

 

135 l’amour et la révolution

 

136 « coquette » ?

« Elle avait l’air de plaisanter ; mais son attitude était indéfinissable. Coquette, il s’en fallait d’un cheveu qu’elle eût l’air nouveau jeu. »

 

137 note, un peu réductrice

À « tokonoma » : « Alcôve dans laquelle on place un objet d’art, des fleurs, etc. » C’est bien davantage ; c’est le cœur même de la maison japonaise.

 

À noter qu’ils sont chrétiens (pour le moins Kazuko)

 

...