161 bruyant tapage
Un brouhaha sonore, en quelque sorte.
163 la Bible
Plusieurs mentions de la Bible et de certains passages (c’est M. Huehara, l’amour de Kasuko, qui parle). Je ne me ferai jamais à l’idée d’un Japonais chrétien…
(À partir de 154, « traduction » visiblement bâclée.)
180 « Je suis écrasé… » ?
« Je suis écrasé par la pression des circonstances qui me rendent extrêmement difficile de vivre. »
Quelle jolie phrase. « qui me rendent extrêmement difficile de vivre » ; c’est-à-dire ? Qui me rendent la vie difficile ?
184 « Maman » « ma mère »
Il écrit à sa sœur et tout à coup de « maman » passe à « ma mère » sans que rien ne justifie ce changement (mais qu’est-ce qui pourrait le justifier ?).
185 « qu’avaient gagné »
« Il eût été surtout intolérablement pénible et répugnant d’être entretenu par de l’argent qu’avaient gagné les efforts personnels d’un autre être. »
Elle est jolie aussi, celle-ci. Ce ne sont pas les efforts qui gagnent l’argent, mais l’être.
« de ce que celui » ?
« Malgré toute ma stupidité, du moins me rendais-je compte de ce que celui qui ne peut pas même supporter qu’on lui paie un verre serait totalement incapable de gagner de l’argent et il n’eût servi à rien d’être sérieux. »
Je l’ai relu cinq ou six fois sans comprendre.
186 « m’inquiète de toi » !
« Je ne m’inquiète nullement de toi. »
Il faut sans doute lire « pour toi ».
14 avril 2014