J’entame et dès les premières lignes, je me
heurte à la traduction, ce type de traduction – j’en ai déjà parlé
– particulière aux textes russes et à Dostoïevski en particulier qui leur
donne l’aspect d’un brouillon ou d’une rédaction scolaire. Je
note de même les considérations sur l’ « écrire sur sa propre
vie »…
9 avril 2003