Terrasse. J’entame un nouveau cahier pour cet avant-dernier jour ici. Il fait beau, les ouvriers remuent leur ferraille (mais beaucoup moins qu’hier et avant-hier : l’échafaudage est achevé, je l’ai vu hier, suis passé dessous – sans réussir à voir la plaque du nom de la calle ; il doit la cacher). Une belle journée s’annonce, je suis un peu groggy à cause de la première cigarette, je me suis réveillé tôt, me suis levé une demi-heure plus tard et je viens de reposer La strada di San Giovanni que j’ai entamé il y a une demi-heure (autobiographique, son enfance ; heureusement que c’est de l’italien). Hier, comme je ne parvenais pas à me résoudre à aller au lit, j’ai fait le 1er septembre avec une cigarette de trop...