Cossery achevé. Quel étrange texte. Après un début qui m’avait laissé perplexe, je termine dans la brume. On dirait un conte déguisé en farce (ou l’inverse), un rêve. L’écriture un peu académique, parfois, scolaire, m’a parfois – souvent ? – gêné, presqu’agacé, mais je pense que je vais en tester un autre. (La libraire m’avait conseillé celui-ci, Léo Mendiants et orgueilleux – quelque chose me dit, d’après le titre, que le contexte sera le même, même monde, voire mêmes personnages…) (Comment aurais-je lu ce texte si je n’avais su que Cossery abhorrait le travail, n’avais jamais travaillé de sa vie ; ici, il n’est question que de cela, et j’ai tout lieu de penser que c’est autobiographique et il s’agirait de sa famille…) J’ai pratiquement passé la journée d’hier à retaper une page Lanlys, celle de Mola, 2015. Je pense que je vais poursuivre – dans la majorité des pages, les liens de retour ne sont pas faits, c’est dommage, et il serait bon de réécrire les textes qui y figurent, c’est souvent catastrophique… Que lire, à présent ?...