Je note aussi les règles du bon barman Je savais déjà que la préparation et le service d’un cocktail est une science, voire un art. Je savais aussi que le bar minimum dont on doit disposer est impressionnant, une bonne vingtaine de bouteilles au bas mot. J’ignorais cependant qu’il en allait de même pour les divers outils, ustensiles, accessoires (qui, pour moi, se limitaient à un shaker, à quelques verres divers et à un seau à glace) dont le nombre est aussi impressionnant : quelque vingt-six verres différents ; une trentaine d’ustensiles dont le siphon, la passoire à rebord, le stopper, le décapsuleur fixe, le décanteur, la bougie, le rafraîchissoir, la passoire à cocktail…

Je note que le shaker fait à la fois partie des outils et des ustensiles. Qu’est-il exactement ? (De la différence entre « outil » et « ustensile ».) Un bon point pour cet ouvrage, c’est que, tableaux à l’appui, les cocktails sont classés par alcool de base ; ce qui fait, et c’est là que le tableau est précieux, que je pourrais très vite trouver quel cocktail je peux confectionner à partir des alcools dont je dispose.

 

21 octobre 2001