Notes :

 

12 DORUNTINE

« Il s’agissait ce soir-là de Qui a  ramené Doruntine ? d’Ismaïl Kadaré que je relis au moins une fois tous les deux ans. »

J’étais justement en train de revoir ce que j’en avais écrit dans le site…

 

34 « certaine catégorie… s’évanouir. »

« Disons que Pas mon genre ne fut pas un échec, et qu’il est parvenu à toucher  une certaine catégorie de femmes et d’hommes qui sans doute, comme nous, se souciaient du temps et de la vie, des nœuds et des boucles, des visages qui glissent et s’estompent, des voix qui résonnent et des souvenirs blessés qui jamais ne parviennent à s’apaiser ni à s’évanouir. »

J’ai immédiatement pensé à Tabucchi, pensé que ça le qualifiait bien (et en plus, ça se passe à Lisbonne).

 

87 « par respect »

« […] un écriteau à l’entrée du cimetière précise qu’il est interdit de boire et de manger. Par respect. Je ne vois pas ce que le respect vient faire dans tout cela. Du respect pour qui ? Pour les morts ? Les vivants ? La nourriture ? La boisson ? »

Pour les morts parce qu’ils ne peuvent pas en profiter…

 

102 « Venise… perdre. »

« Venise est la seule ville au monde où l’on peut s’égarer sans se perdre. »

Non : se perdre sans s’égarer (mais il n’y est allé que deux fois).

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