XVIIe, François Timoléon de Choisy entre dans les ordres à dix-huit ans pour, deux ans plus tard, « prendre la fuite » et vivre, durant quinze ans, sur l’héritage que lui a laissé sa mère. Il joue, se travestit, séduit, sous ses déguisements, des belles dames. C’est très mal écrit, d’une invraisemblance totale. En même temps, il y a dans cette sorte de perversité niaise (du moins telle qu’elle est relatée) quelque chose d’attrayant et de gai, voir ses coucheries, lui vêtu en dame, avec des oies blanches qu’il initie au plaisir (et elles n’y voient que du feu). Sorte de Bellino retourné, en somme (mais je me garderai bien de confondre les deux)…