Tout d’abord, premier texte, il est Comtesse des Barres. Il est Madame de Sancy dans le second. Je vais l’entamer. Jusqu’où va-t-il aller dans la pantalonnade ? (Je note cette bizarrerie dans la préface. Il meurt en 1724. Ses textes ne sont publiés qu’en 1862 par son petit-neveu qui écrira : « On croira cette histoire tout à fait invraisemblable. Je puis pourtant certifier qu’elle est très véritable. Le vieux abbé, longtemps après avoir écrit la vie de David de Salomon, des Histoires édifiantes, celle de l’Église, me contait encore ses folies avec un plaisir indicible… ») (Il n’empêche que cette polissonnerie m’a tiré quelques grosseurs ; mais j’ai l’esprit mal tourné et le vice rivé à la chair…)

(Il me vient tout à coup à l’esprit mon cousin Gontran que sa mère a habillé en fille jusqu’à l’âge de sept ou huit ans, la chevelure à l’avenant. Les photos en font foi. Je n’ai jamais pensé à en demander la raison à mes parents…)