Suite de l’exploration et l’étude des laissés pour compte, prélèvement au hasard dans le tas (mais la finesse du dos a eu un rôle) : La fiancée en cire, Henri Charrier, qui, curieusement, n’est pas à la Pensée Universelle, mais aux Éditions La Bruyère, un confrère sans doute. La facture est identique, à cette différence près qu’il n’y a ici ni ISBN, ni prix de vente. C’est un compte d’auteur pur jus… Le style est parfaitement académique, un peu ronflant, mais bien mené. La reproduction de l’aimé(e) perdu(e) en statue de cire est une vieille histoire, mais je me demande bien comment celle-ci va se terminer. J’y retourne… (Je pensais tout à l’heure à un parallèle entre le Kawabata que je peine à terminer et ce texte-ci, l’un d’une sommité internationale, l’autre d’un parfait inconnu qui se fait plaisir. Y a-t-il une réelle différence ?)