La nuit dernière, en me glissant dans le lit, je me suis aperçu que j’avais laissé Murakami dans mon bureau ; j’ai eu la flemme de me lever. Au pied de mon lit, se trouvent Dante, Hammett, Brodsky, Pepys et Calvino. Étant donné l’heure et mon état de fatigue, il me fallait quelque chose de court ; j’ai donc repris les Fiabe italiane ; ai lu Uccel del verde (que du reste, je n’ai pas achevée, le sommeil a été le plus fort)…

 

1er septembre 2013