Cette note est sans nul doute de l’éditeur (ou du traducteur) français. Suit la prémisse qui est de l’auteur (figure-t-elle dans la revue ou non ?). Elle débute ainsi : « Le texte qui suit a été écrit par une dame qui se reconnaît en Michela, la protagoniste de La femme aux liens. » Il explique qu’il a reçu trois lettres dont il a fait une seule ; qu’il a donc arrangées à sa façon. Suit la fameuse lettre « arrangée » où il apparaît que cette dame est une connaissance de l’auteur (voire une amie ?) qui a lu le livre, qui s’est y reconnue ; qui dit à quel point ce livre l’a abattue. En effet, l’auteur a utilisé les propos de ladite dame délivrés en analyse. Elle y dit son désarroi, sa détresse ; exprime tout le mal que le livre, et donc l’auteur, lui a fait. Suit enfin Analyse où l’auteur démonte minutieusement les propos de ladite dame pour les retourner contre elle-même. Cette dernière partie est froide, sèche, cérébrale. C’est extrêmement malsain