« […] j’ai eu des malheurs, et j’ai toujours pensé, et jamais je n’ai désiré d’entrer dans le corps d’un épagneul chéri de la plus belle de toutes les reines du monde ; je n’aurais pas même voulu, pour me débarrasser de mes peines, entrer dans le corps d’un grand roi de crainte que la conformation de l’intérieur de sa tête ne portât quelque changement à ma façon de penser. Je parle de moi, car je n’ai pas le droit de parler d’un autre. »