Après vérification, Casa l’a bien écrit en italien à son retour à Venise avant de le « réécrire » en français dans Histoire de ma vie. Ma mémoire est de plus en plus faillible (en tout cas, de moins en moins infaillible).  En plus, la comparaison entre les deux va m’être épargnée puisqu’ici il s’agit d’un « veneziano » non nommé (ou nommé C…) et que l’histoire est rapportée par un mystérieux « io ». J’ajoute que la lecture n’est pas toujours aisée, même si cet italien est extrêmement proche de l’actuel (je suis du reste stupéfait que deux siècles aient eu si peu d’effet sur la langue, de la même façon que pour le français et l’anglais)...

 

18 décembre 2011