Le grand-père, la grand-mère, la mère, l’oncle,
le père… les chères biographies telles que les États-uniens les
affectionnent, qui remplissent des pages pour ne rien dire ; l’identité
des personnages réduite à des rapports de police. Où est la littérature dans
tout ça ? ou la poésie puisque c’est de cela qu’il est
question ? (Et je ne peux m’empêcher de penser au navrant Cercle
des poètes disparus.) Vais-je poursuivre ?
29 mars 2002