J’ai poursuivi ce matin, j’aborde la seconde partie qui commence par une lettre. Ma première idée a été qu’il allait s’agir des lettres interdites d’Eliot dont il est question depuis le début ; d’où un soupir de soulagement et d’espoir quant à un changement de direction. Puis un autre soupir, mais d’agacement cette fois lorsque je me suis aperçu qu’il s’agissait du journal de Judith, la poétesse, épouse de l’archiviste…

 

30 mars 2002