Une nouvelle fois, du mystère des notes « disparues », c’est-à-dire celles que je suis certain d’avoir prises et qui ne figurent nulle part. Je me rappelle parfaitement que l’une d’elles concernait ces fameux arancini dont le mystère est dévoilé à la page… Et mieux, voilà ce qui se produit : tout en écrivant, je me demande si je n’en ai pas déjà parlé. Je vais vérifier et effectivement, j’ai rapporté la même chose… Il n’empêche, voici le passage de la page 140 où tout s'élucide...
12 avril 2008