p. 79 
:
« Je voudrais écrire, c'est le remède à tout, le salut, je le sais bien. »
Le remède. Voilà bien le mot gênant : remède. L'écriture ne doit pas être un remède. (Et pourtant, j'y succombe parfois, comme les lettres à *** qui me font tant de bien, me permettent de garder un lien avec elle, mais surtout me font du bien. C'est véritablement un remède...)

p. 102, 174 :

Côté mélancolique attaché à l'enfance, qui m'agace
Je n'ai aucun regard de quelque sorte que ce soit sur mon enfance et de ce fait ne trouve aucun intérêt à connaître par le biais de la littérature celle des autres...

(Deux journées à la suite de lecture, c'est incroyable. Lecture un peu distraite – pensées qui prenaient l'avantage aussitôt que l'intérêt faiblissait –, mais lecture tout de même... Dehors, il fait beau...)

p. 200 :
un jeune homme etc.
à rapporter en entier

p. 201 :
il me faut écrire etc.
...