(Rey, Durrell)
deux noms qui m'ont traversé l'esprit durant la lecture...

C'est un lieu commun de dire que l'intérêt que l'on porte aux choses dépend de l'état d'esprit dans lequel l'on se trouve au moment où l'on est confronté à elles. Je ne sais exactement dans quel état d'esprit je me trouve, mais je lis cela sans ennui, ni déplaisir, y glane de-ci de-là des choses à rapporter, et je me pose la question de son intérêt (p. 200) – Sans doute le passage du jeune homme...

La corde sensible : l'enfance, l'amour, le temps qui passe, le souvenir, la nostalgie, la mélancolie...

p. 247 : écrire 
à rapporter...

7 avril 1997